Band 123, Heft 1

Romanischen Bildungen vom Typus N + N sagt die herrschende Meinung nach, sie seien weniger produktiv als der gleiche Typus in den germanischen Sprachen. Definiert man Produktivität als die Menge der mit einer Wortbildungsregel erzeugten usuellen Bildungen, wird man dieser Einschätzung kaum widersprechen können. Für gängige Alltagskonzepte, die im Deutschen mit Nominalkomposita versprachlicht werden, verfügen die verschiedenen romanischen Sprachen in der Tat oft nur über Bildungen des Typs N + prep. + N: (1) a. dt. Weinkeller vs. fr. cave à vin / ?? cave vin b. dt. Taschenbuch vs. sp. libro de bolsillo / ? libro bolsillo c. dt. Wortfamilie vs. it. famiglia di parole / * famiglia parole Auch im Hinblick auf eine dynamische Konzeption von Produktivität, also die Wahrscheinlichkeit, dass N + N-Komposita zur Begriffsbildung herangezogen werden, wird man der in der einschlägigen Literatur vertretenen Meinung zustimmen können, wenngleich die Zunahme dieses Bildungstyps in allen romanischen Sprachen heute nicht zu leugnen ist (cf. auch unten Abschnitt 2.3).

Le songe ou la vision allégorique constitue le «type-cadre» d'un grand nombre de poèmes narratifs français entre la fin du XIII e siècle et le début du XVI e . Le schéma de base est connu: un «acteur», narrateur homodiégétique, qu'il rêve ou qu'il soit bien éveillé, se trouve dans un paysage peuplé de personnifications; il assiste ou participe à une série d'événements avant de reprendre connaissance et de transcrire son expérience (Badel 1980, 332–353). Connues aussi les implications thématiques et formelles du songe. On reconnaît largement qu'il légitime son message idéologique, en en suggérant l'origine transcendante ou en en affirmant le statut fictif pour détourner toute critique éventuelle (Braet 1985, 22; Marchello-Nizia 1981, 52–53); qu'il problématise souvent des questions de vérité et de connaissance (Marchello-Nizia 1985, 256–258; Bokdam-Huot 1989, 149; Kruger 1992, 134–141); et qu'au niveau formel il permet aux poètes d'exercer leur virtuosité en manipulant des topoï narratifs familiers (Angeli 1985, Armstrong 1995). On a su également relier les songes et visions à des questions épistémologiques plus vastes. Kathryn Lynch, dans une étude importante (1988, 1–76), suggère de façon convaincante que la structure de la vision poétique reflète l'opération mentale que la philosophie médiévale appelle l'abstraction . L'abstraction permet aux humains d'acquérir la connaissance d'universaux, en abstrayant progressivement les formes immatérielles des objets que perçoivent leurs sens, ou des fantasmes que produit leur imagination. La psychologie médiévale décèle dans les rêves une semblable ascension vers la connaissance: l'imagination produit des images que peuvent rendre significatives les opérations organisatrices et interprétatives de la raison, opérations grâce auxquelles le rêveur peut abstraire des images les vérités nécessaires (Lynch 1988, 64–72). Les songes illustrent donc le fonctionnement des facultés mentales, et font des révélations métaphysiques aux humains – tout ce qui en fait un instrument efficace de la poésie didactique. Étant donné l'importance du savoir dans la poésie de cette époque (il n'y a qu'à se rappeler combien on affectionnait les pièces de circonstance et les textes moralisateurs), les songes et visions paraissent ainsi constituer un champ d'investigation privilégié pour qui veut cerner la poétique française du bas Moyen Âge.

Le français au Maroc est un héritage de l'ère coloniale, introduit pendant le «Protectorat» (1912–1956). Cette durée de 44 ans a été suffisante pour ancrer le français comme langue seconde de manière relativement solide dans la société marocaine. Malgré la campagne d'arabisation après l'Indépendance, notamment de l'enseignement secondaire public, entamée déjà dans les années 60 et renforcée au cours des années 80 (cf. Gleßgen 1996; Grandguillaume 1983; Moatassime 1992), le statut du français comme «première langue étrangère» à côté de l'arabe, langue nationale et seule langue officielle à part entière, demeure largement incontesté. Cependant, du point de vue linguistique, les variétés de français, notamment celle utilisée par le groupe des jeunes urbains scolarisés des quartiers populaires, groupe qui est au centre de l'intérêt de mon enquête, sont difficiles à classer. Gleßgen (1996, 53–54) discute la validité des concepts de pidgin et de créole pour le cas du français au Maroc, constate à juste titre que nous ne sommes en présence ni de l'un ni de l'autre, et finit par proposer la catégorisation «proto-pidgin stabilisé» (ib.), terme qui mériterait précision.

VI. Zusammenfassung Der vorliegende Aufsatz versucht, alle zulässigen Interpretationen der Possessivrelation bei Eventualitätssubstantiven im Italienischen zu erfassen und zu erklären, warum bestimmte Alternativinterpretationen ausgeschlossen sind. Grundlage ist eine Klassifikation von Ereignissen und Zuständen nach ihrer thematischen und kausalen Struktur, eine Klassifikation, die wesentlichen Gebrauch von den Vendlerschen (1967) Zeitschemadifferenzierungen macht, die die traditionellen Aktionartunterscheidungen präzisieren (cf. Hölker 2001). Es zeigt sich jedoch, dass die relevante Klassifikation von Eventualitäten nicht der nach Zeitschemata entspricht. So gehören z.B. zu den komplexen Ereignissen Ausführungen und Umschwünge, aber nur solche Umschwünge, die auch einen ausgezeichneten Folgezustand haben. Auch Ausführungen sind mit einem solchen Folgezustand verbunden. Es ist der Bezug der entsprechenden Substantive auf einen solchen Zustand, der die objektive Interpretation von Possessiven bei diesen Substantiven möglich macht. Insofern spielen nicht nur Aspekt/Aktionsart eine Rolle für die Bestimmung der Possessivrelation bei Eventualitätssubstantiven, sondern vor allem bestimmte Beziehungen zwischen Eventualitäten, die als kausale Strukturen dargestellt wurden. Unter Bezug auf die thematischen und kausalen Strukturen wurden zwei Beschränkungen formuliert. Die erste, die des Prominenzmaximums, basiert auf der Prominenzhierarchie der thematischen Rollen und regelt die subjektive Interpretation der Possessive. Die zweite, die der Rollenkonnexität, basiert auf der Interaktion zwischen thematischen und kausalen Strukturen und regelt vor allem die objektive Interpretation.