A Note on the Reversibility of Cellulose Ethers. Detection on Artwork Surfaces Using Modified FTIR

SUMMARIES

In order to assess the actual reversibility of cellulose ethers when applied on paper, the presence of cellulose ethers was studied by FTIR spectroscopy in the diffuse reflectance mode. Infrared spectra of ethylcellulose polymers show a sharp band at 2900 cm^–1, associated with a CH stretching vibration, and a broad band at higher wavenumbers, which corresponds to OH stretching modes. Paper samples to which a cellulose ether has been applied on the surface, show a greater increase of CH- than of OH-population. This can be expressed by the relation between the intensity of the OH- and the CH-stretching band (IOH/ICH ratio).

Three such ratios have been obtained for each sample: that of the sample without treatment, the second after applying the ether and the third after the ether has been removed by immersion in ethanol. The results prove that the ethers are not fully removed. Furthermore, the rate of removal is not directly proportional to the time of the immersion.

Afin d'évaluer la possibilité réelle de réversibilité des éthers de cellulose appliqués au papier dans le cadre d'une mesure de conservation ou de restauration on a étudié la présence de ces substances au moyen d'une variante de la spectroscopie FTIR transmettant de la lumière diffuse. Les spectres infrarouges des polymères de cellulose éthylique montrent une bande nette à 2900 cm^–1, les CH, associée à une longue vibration et une large bande à plus forte longueur d'ondes qui correspond aux modes des groupes OH. Les échantillons de papier sur la surface desquels un éther de cellulose a été appliqué manifestent un plus grand accroissement de bandes CH que OH. Ce-ci peut être exprimé par la relation entre l'intensité des bandes OH et CH (rapport IOH/ICH).

Ce calcul a été effectué au cours de trois séries d'expériences: avec du papier n'ayant subi aucun traitement, avec du papier sur lequel des éthers de cellulose avaient été appliqués et avec du papier sur lequel des éthers de cellulose avaient été appliqués puis retirés par immersion dans de l'éthanol. Les résultats ont démontré que les substances appliquées n'ont pu être com-plètement retirées. Par ailleurs on a constaté que la quantité de substances retirées n'était pas directement proportionnelle à la durée d'immersion dans le solvant.

Zur Untersuchung der Möglichkeit, Celluloseäther von Papier zu entfernen, auf das sie im Rahmen einer konservatorisch-restauratorischen Maßnahme aufgetragen worden waren, wurde das Vorhandensein dieser Substanzen mittels einer Variante der FTIR-Technik untersucht. Infrarotspektren von Äthylcellulose zeigen eine deutliche Bande bei 2900 cm^–1, die CH-, und eine Breite bei höherer Wellenlänge, die OH-Gruppen zuzuordnen sind. Papierproben, auf deren Oberfläche Celluloseäther appliziert wurde, zeigen eine höhere Zunahme an CH- als an OH-Banden. Dies läßt sich ausdrücken als Relation von deren Intensitäten (IOH/ICH ratio).

Diese Berechnung wurde für drei Versuchsserien durchgeführt: unbehandeltes Papier, Papier mit Auftrag des Celluloseäthers und Papier mit solchem Auftrag und Entfernen desselben in einem Äthanolbad. Die Ergebnisse zeigen, daß die aufgetragenen Substanzen nicht vollständig entfernt werden können. Weiterhin zeigte sich, daß die Menge der entfernten Substanz nicht mit der Einwirkungsdauer des Lösemittels zunimmt.