Band 128, Heft 3

Dieser Beitrag findet seinen Ausgangspunkt in dem Gegensatz zwischen zwei Chronologien, der die Erforschung der lateinisch-romanischen Diachronie kennzeichnet: zwischen einerseits dem frühen Zeitansatz, der auf inneren Kriterien beruht und die romanische Umstrukturierung des gesprochenen Lateins bereits am Ende des Weströmischen Reiches (etwa 4.D 6. Jh.) für abgeschlossen erachtet, und andererseits dem späten Zeitansatz, der aufgrund besonders metalinguistischer Zeugnisse ein viel längeres Fortdauern der Latinophonie annimmt. Dem Verfasser zufolge kann der Hiat überbrückt werden durch das Konzept der intralingualen Diglossie.

Il est bien connu qu’un des principes d’organisation du codex B.N. f. fr. 837 est la distribution de fabliaux en groupes de deux, trois ou quatre, un groupe e´ tant de´ fini et par la juxtaposition et par la spe´ cificite´ ge´ne´ tique de ses composants. Dans certains de ces groupes, on peut cerner une unite´ the´matique qui renforce l’ide´e que fr. 837 a e´ te´ soigneusement planifie´ . Dans la pre´sente e´ tude, je propose d’e´ largir la de´ finition d’un groupe et de conside´ - rer comme ensemble cohe´rent quelques textes, sans e´gard ni a` leur place ni a` leur genre, qui partagent un seul et meˆme the`me. Dans ce but j’ai choisi deux fabliaux et deux dits dans lesquels il est question du forgeron et de ses outils.

La créativité lexicale de Louis-Sébastien Mercier est remarquable par sa grande variété et son souci de révolutionner la langue française. Pour analyser quelques critères de (non-) maintien du néologisme, nous avons choisi une création morphologique et sémantique qui aurait pu, selon nous, s’imposer dans la langue. Il nous a paru en effet intéressant de comprendre ce qui a motivé le choix du néologisme frivoliste , mais aussi d’observer les règles suivies par Mercier. Nous nous demanderons également si l’application des principes nécessaires à toute nouvelle création suffit à légitimer l’usage d’un néologisme et pourquoi ce mot n’a été ni propagé par son auteur, ni repris par l’usage établi.

Les études d’anthroponymie médiévale en Catalogne jouissent depuis le début du XXe siècle d’un excellent prestige comme le démontrent les diverses publications parues jusqu’à nos jours. Notre travail, fondé sur une source documentaire déjà éditée, les Privilegis de la ciutat de Tàrrega , aborde l’étude de l’anthroponymie médiévale de cette ville entre les années 1350 et 1473. Nous présentons au total 397 anthroponymes et nous étudions leur structure formelle, les noms de baptême et les noms de famille qui y sont contenus dans le but de pouvoir parler d’une certaine individualité onomastique dans un territoire et à un moment historique comme ceux que nous étudions.

Dans le but de mieux connaître l’évolution en péninsule ibérique de la Suite du Merlin Post-Vulgate , depuis la traduction de l’original franc¸ ais jusqu’au Baladro del sabio Merlín con sus profecías imprimé à Burgos en 1498, cet article se demande pourquoi l’auteur du titre de l’incunable précisa que l’ouvrage contenait les prophéties de Merlin: il avance l’hypothèse selon laquelle cette épigraphe fait allusion à la collection prophétique dérivée de l’ Historia Regum Britanniae et fut rédigée à une époque où les prophéties étaient perçues comme une interpolation, dont il analyse les indices, ainsi que la présence de vocables d’origine léonaise.

Sono studiate le citazioni di toponimi ed etnici nella poesia italiana delle origini. Si argomenta come siano legate al genere della poesia: topiche nel religioso, biografiche in quello politico, comico o lirico. Il criterio biografico, che deriva dai trovatori, permette di contestualizzare poesie di crociata come Gia` mai non mi conforto e di risolvere la «questione» dell’invio di Lontano amore manda sospiri di Giacomino Pugliese. Sono, inoltre, analizzati i criteri di citazione dei toponimi nelle liriche, menzionati sempre in congedi o in rima. Infine è rilevata l’assenza di varianti per i riferimenti geografici.

Le locuzioni menzionate sono accomunate da una serie di proprietà sintattiche e semantiche, che qui vengono descritte in dettaglio sulla base di dati provenienti dal corpus Repubblica . Dai dati analizzati risulta che il denominatore comune dei vari usi di queste locuzioni è il ruolo di agente attribuibile al SN del loro complemento nei confronti del predicato espresso o deducibile dal target discorsivo che esse prendono di mira. E` in larga misura questa caratteristica che distingue le tre locuzioni in questione dalla locuzione da parte di (studiata in un precedente lavoro), che ha la stessa flessibilità sintattica ma che non è sottoposta alla stessa restrizione semantico-argomentale.